Il y a quelques semaines, le mouvement social, entre autres, a privé le Rassemblement National d’une majorité. Nous avons fait campagne pour imposer des revendications sociales sur des valeurs d’égalité, d’antiracisme, de féminisme, de justice sociale et de répartition des richesses.
Pour autant, le président continue à faire comme si ces revendications sociales n’existaient pas, il va donc être indispensable de passer par nos luttes pour faire changer les choses.
L’instabilité politique de cette rentrée nous incite, dans l’unité syndicale la plus large, à repartir à l’offensive dans notre secteur et renforcer une riposte interprofessionnelle pour faire entendre la voix de ceux qui réclament plus de justice sociale.
Le 1er octobre n’est pas la grève de rentrée « de chaque année » !nAujourd’hui, c’est un tremplin pour gagner nos revendications sociales portées pendant la campagne électorale !