Depuis la dernière journée interprofessionnelle du 28 mars, les initiatives locales et unitaires ne faiblissent pas ; la tension sociale est perceptible partout. Celles et ceux qui veulent nous voler nos deux meilleures années en retraite n’auraient jamais pensé qu’ils et elles seraient encore enlisé-e-s dans ce conflit social au mois d’avril. Nous reprenons de temps en temps notre souffle, des forces … mais à aucun moment il n’y a un renoncement de notre côté. L’espoir reste dans notre camp plus que jamais … il suffit de voir la frénésie autoritaire de Gérald Darmanin ce weekend qui montre que le pouvoir est complétement aux abois !